Le Boxer

Il s’agit de problèmes respiratoires et donc de diverses malformations qui gênent la respiration. On retrouve la sténose des narines. Les narines sont trop étroites et gênent la respiration. Si c’est le cas, il faut opérer pour élargir l’orifice nasal. L’hypertrophie du voile du palais. C’est la partie molle du palais, au fond de la gorge. Si cette partie est trop longue, il faut la couper car elle gêne la respiration. L’éversion des ventricules laryngés. Ce sont deux « peaux » à l’entrée du larynx qui peuvent obstruer partiellement l’entrée de la trachée. Une chirurgie est nécessaire pour corriger ce problème. Les symptômes vont être des ronflements, difficultés respiratoires, une intolérance à l’effort, des signes accentués à la chaleur, des syncopes avec perte de connaissance ou encore des vomissements et régurgitations d’aliments ou de mousse. Pour compenser ces difficultés respiratoires constantes, le coeur de votre chien va travailler bien plus pour apporter l’oxygène nécessaire aux organes. Votre chien peut alors développer une insuffisance cardiaque secondaire. L’espérance de vie des chiens brachycéphales qui souffrent de ce syndrome est très diminuée. N’attendez pas pour consultez votre vétérinaire !

Il s’agit d’une maladie qui touche le cœur de l’animal. Celui-ci présente des lésions du myocarde d’un ou des deux ventricules du cœur. Cela provoque une dilatation cardiaque et des troubles dans son rythme cardiaque. Les signes qui doivent vous alerter sont : perte de poids, faiblesse, toux et évanouissements.

La sténose aortique du chien est due à un rétrécissement de l’aorte. C’est le vaisseau qui envoie le sang du ventricule gauche dans tout l’organisme. La sténose gène donc le passage du sang. Il s’en suit un excès de travail pour le ventricule gauche qui fini par se fatiguer et être responsable du développement d’une insuffisance cardiaque gauche. Les symptômes vont être une fatigue à l’effort, des syncopes … Il n’existe pas de technique chirurgicale permettant de corriger cette malformation du cœur. Il n’existe pas non plus de traitement « médicamenteux ». En revanche, si des troubles du rythme sont présents certains médicaments pourront améliorer la qualité de vie du chien. Le seul moyen pour limiter cette maladie est le dépistage des animaux reproducteurs, afin d’écarter de la reproduction ceux qui présentent cette affection.

La dysplasie est une maladie génétique, héréditaire, dont l’apparition et la progression sont influencées par des facteurs environnementaux. C’est essentiellement pendant la croissance, sous l’influence de facteurs génétiques (principalement une laxité articulaire excessive), mais aussi environnementaux, qu’apparaissent des changements pathologiques qui souvent mèneront à une dégénérescence articulaire (arthrose). C’est une pathologie invalidante et douloureuse, qui malheureusement ne s’améliore pas dans le temps. Cette maladie se dépiste, il est donc important que les éleveurs réalisent le test sur leurs chiens reproducteurs. La dysplasie peut causer des symptômes tels que de la raideur, une boiterie, une démarche anormale.

Il s’agit d’une maladie qui touche le cœur de l’animal. Celui-ci présente des lésions du myocarde d’un ou des deux ventricules du cœur. Cela provoque une dilatation cardiaque et des troubles dans son rythme cardiaque. Les signes qui doivent vous alerter sont : perte de poids, faiblesse, toux et évanouissements.

C’est une maladie oculaire caractérisée par la dégénérescence progressive des cellules (cônes et bâtonnets) formant la rétine. Ces cellules sont sensibles à la lumière et leur dégénérescence peut faire diminuer la vue, possiblement jusqu’à la cécité. L’atrophie rétinienne progressive chez le chien est une maladie héréditaire et récessive. Le chien n’est atteint que lorsque ses deux parents sont porteurs du gène de la maladie et les lui transmettent. Les symptômes vont être une baisse de la vision, se manifestant dans un premier temps dans la pénombre puis des difficultés de déplacement. Les pupilles se dilatent et deviennent brillantes avec une couleur verte-orangée. Il n’ y a pas de traitement efficace qui permette de remédier à cette maladie. Demandez donc à l’élevage le test de santé des parents !

Le Boxer est sujet aux allergies de peau, qu’elles soient environnementales ou alimentaires. Une éruption de boutons ou un eczéma avec démangeaisons, rougeurs et gonflements sont à prendre au sérieux. Si votre Boxer présente ces symptômes, consultez votre vétérinaire !